BOUILLON D’AIL
roman de Gine Favières
Gine Favière (Mme Guérard Geneviève 1912-2000) a écrit Bouillon d’ail qui a
été récompensé par l’Académie du Var par un prix « Prose ». L’auteur
a aussi réalisé un manuscrit « Du Var et des Varois » qui n’a jamais
été publié. Dans ce manuscrit, elle y parle du Revest.
Bouillon d’ail, c’est le croquis d’un paysan de
Provence, croquis d’un chevrier fantasque : Paulinet.
Il a la peau tannée par le soleil. Il est nonchalant et vif comme la poudre
donc aux penchants contraires légués par quelque aïeul barbaresque implanté
dans le massif des Maures et allié aux Provençaux pour former cette race propre
au pays des restanques.
Le Pays de Paulinet, c’est
le nord du Faron, Tourris, les Olivières
et Grand Cap. Le chevrier disait souvent : « J’aime la pierre rude de
nos collines ».
Nous,
nous aimons Bouillon d’ail car c’est un bouillon d’oxygène.
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