Il se trouve sur le flanc sud du Grand Cap, au dessus
de la carrière de marbre de Tourris.
Selon le
principe de la communication orale, il aurait été construit au début du 20ème
siècle et l’un des maçons (de Mostuejouls) serait mort
d’une crise cardiaque pendant les travaux ; la rumeur affirme qu’il a été
enterré sur place. Un four à chaux, se trouvant à
Il y a 60 ans, les frères Menghi
louent le cabanon qui sert, dès le mois d’août, de point de rencontre à une
battue à sanglier composée de :
-
Menghi Francois, Louis et
Dominique (les 3 frères), Nicolai Hyacinthe, Raffali Jules, Guistiniani Jacques,
Depruno Philippe, Finidori
Paul, Magnani Antoine, Fieschi Jean, Leccia J., Maroselli Antoine, Agostini Jean,
Fraticelli Marcel, Coulonnier
Pierre, Guidonni Pierre, Fréani
Ange, Astolfi M. et Calmels
Jérome.
Puis au moment de la « passe » (octobre),
d’autres chasseurs viennent mettre des
pièges (« fers ») pour attraper les grives, les merles et les rouges
gorges. Pendant ce mois, les chasseurs ne quittent pas le Grand Cap, ils
dorment dans le cabanon. Ils boivent l’eau puisée dans une grande citerne
naturelle qui est à
Vers 1960, cette génération de chasseurs cesse de
fréquenter le cabanon.
Vers 1990, un Bécassier, Homère Werzwydel,
retrouve le cabanon envahit par le maquis et décide de lui donner une nouvelle
jeunesse. Pour cela, il sera aidé par :
-
Moreno Ruiz
Daniel,
-
Simian René,
-
Trabaud Antoine.
Aujourd’hui, grâce à Internet, le cabanon est
internationalement connu :
http://omerv.free.fr/
Ainsi le monde entier peut jeter un œil sur sa façade
blanche sans fouler son pas de porte et donc troubler la tranquillité du Grand
Cap : nous aimons cette formule !
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