Simon Segal,
A Toulon, de
1926 à
1933
Entre
Simon Segal et Bassano (qui le premier achète les toiles du
peintre) une amitié est née qui durera à travers
le temps. Segal a trouvé en Bassano un défenseur
fidèle, comme Modigliani en Zborowsky.
Les Toulonnais
sont surpris par la peinture de Simon Segal, mais les premiers
acheteurs se manifestent.
En peu de temps, Segal devient « l’enfant
terrible » et chéri de la
vieille cité maritime. Les toiles de cette époque
expriment son tempérament
ardent et fougueux ; « Le Fou » dont une
variante se trouve dans
une collection particulière d’Irlande, l’autre en
Tchécoslovaquie ;
« L’Ane » collection de M. Echevin ;
« L’Homme à
l’Acordéon », etc. Durant la dernière
année de son séjour en Provence, il
s’impose la discipline cézannienne : construction
rigoureuse, volumes
colorés.
En 1933, il revient à Paris.